Je trouvais les tensions tellement inutile et les gens comme beau voulant à tout prix provoquer des embrouilles pour mouvementer le prime. Je préférais encore un prime ennuyeux que des cris dans tous les sens. Après le Et donc de Beau, je m’attendais à un truc épic venant de Cassiopée, mais rien. Il ne se passa strictement rien, donc tout cette mise en scène inutile. Enfin, ça avait au moins put réveiller les candidats les plus endormis. Je n’eu même pas le temps de m’en rendre compte que Cassi venait de s’emparer de ma main afin de retourner à nos places initiales. Je sentais alors sa tête venir se poser sur mon épaule. Tout ça l’avait-elle fatigué ? C’était fort probable. « ça va aller ? » demandais-je juste pour prendre de ses nouvelles, je ne voudrais pas qu’elle est une baisse de régime durant l’aventure.
Même si je discutais avec la candidate, je restais attentif à ce qui se passait pendant le prime. Notamment au malus que venait d’écoper l’équipe Waratah grâce au mauvais lancé d’Alexis. Bon, comme souvent, ce n’était pas leur jour de chance aujourd’hui.

Comme prévu, fin de la chute en beauté. L’un de nous écopait d’une nomination d’office. Je soupirais. « C’est pour moi, sans discussion. » je déclare presque froidement. Non, vraiment, les deux filles présentes n’avaient pas le choix, je prenais la nomination pour ma pomme. N’ayant jamais été nominé, c’était le choix le plus logique. De toute manière, à moins quarante points, d’autres me rejoindront sur le banc.

Gabriel, décision validée.

Une nomination d'office pour un Waratah ? Alexis haussa les épaules. « Est-ce qu'on peut décider après les candidats éliminés ? Quitte à savoir si Abbie s'en va ou non, quoi. » Ce n'est pas comme si elle servait à quelque chose. Mais Gabriel prit la parole et déclara qu'il se choisissait. Soit. Puis, détournant les talons, la brune observa ce qui pouvait bien se passer entre certains candidats. Après une réflexion de quelques secondes et une décision de ne pas retourner seule sur le canapé, la belle se dirigea d'un pas décidé vers Beau. « Vous allez voir ce qu'est un vrai baiser, bande d'amateurs. » murmura-t-elle pour elle-même. Levant les yeux au ciel, l'étudiante poussa légèrement le torse du blond avant de les poser sur ses joues et de sceller leurs lèvres d'un baiser fougueux. Un message pour Cassiopée ? Peut-être : personne ne s'aventurait là où la belle s'aventurait déjà.

L'alphabet de
part of me

Je vous ai manqué, pas vrai ? Je suis sûre que si, voyons. Et chanceux comme vous êtes, je suis de nouveau là afin de vous proposer la suite de notre alphabet.

G comme euh... bah, disons Gabriel.
C'était juste pour dire quelque chose hein, pour cette lettre, parce que, clairement, ce n'est pas facile de trouver un truc en "G", à part peut-être "gerbille", "géolocalisation" ou bien, hm... "gagnant". Oh ouais, j'aurais dû faire ça. Trop tard, on m'a influencée à dire Gabriel, j'vous assure, c'est Asling qui m'a dit de faire ça, limite, il m'y a forcée... mais que Gabriel ne se fasse pas de fausses idées, c'était juste pour combler les trous. Passons à la suite, donc.

H comme... hôpital.
Et il me semble important de rappeler que jusque-là, aucun candidat n'a tenté de se suicider et que personne ne s'est blessé au point de finir dans une chambre toute blanche. Donc, un bon point pour Part of me, nous n'avons pas eu droit à ce genre de scandales. Oui, ça valait le coup de le dire.

I comme... idiot.
Une chose est certaine, c'est que nos candidats ne sont peut-être pas idiots. Peut-être, ouais, parce que rien n'est sûr. Ce que nous savons, toutefois, c'est que plusieurs secrets ont sauté, ce qui est déjà pas mal. Cela dit, ils ont encore du boulot pour en venir à découvrir tous les secrets. Outre cela, nous n'avons pas droit au genre de phrases totalement stupides et sans sens que l'on peut parfois voir ailleurs, ce qui est déjà une très bonne chose, n'est-ce pas ? La question qui se pose aussi, c'est, selon vous, qui est le candidat le plus idiot ? Et qui est celui qui l'est le moins ? Très franchement ? J'adorerais pouvoir lire dans vos pensées, là.

J comme ... jacuzzi.
Pièce dévoilée en avant première durant les castings, nous avons toujours pensé que le jacuzzi serait un de ces lieux. Vous savez, le genre qui fait bien parler de lui, le genre dans lequel se passent bien des choses. Et ne soyez pas mauvaise langue, je n'ai rien dit concernant ces éventuelles choses. Malheureusement, nous n'avons le droit à rien de tout ça. Légèrement décevant, oui, il faut l'avouer. Alors, voilà ce que je conseille : si jamais vous voulez vous disputer, vous saouler, faire des déclarations d'amour ou forniquer, je vous propose le jacuzzi. C'est un cadre idéal, qu'on se le dise et je suis sûre que cela en inspirera plus d'un. Donc, lâchez-vous.

« Très bien. Je viens de lui refiler mon angine à ce crétin. » Un sourire s’emparait de mes lèvres avant que mes yeux ne viennent se fermer un très court instant. J'avais une réaction puérile et alors. De toute façon, je n'étais pas connu pour être très intelligente. Enfin, je m'amusais surtout à jouer les idiotes car de toute façon, la plupart des gens présent dans cette baraque pensait que j'avais été bercée un petit peu trop près du mur durant mon enfance, alors je n'étais plus à ça près. Je fermais les yeux un très court instant avant de dire d'une petite voix enfantine tout doucement: « Je vais lui verser de la tisane bouillante sur ses parties génitales pour le guérir. Bonne idée non ? » Allons bon la Alexis qui s'y met maintenant. Quelle pâle copie. Je ne pouvais m'empêcher de laisser un rictus moqueur s'envoler dans les airs. « Mais oui ma belle, tu as raison, contente toi de me copier pour pouvoir exister dans cette baraque. » Et un sourire hypocrite de plus.

Il était sûr que j'allais rentrer. Au fond, j'évitais de me poser des questions sur ce point là. Je verrais bien au moment venu. Pas la peine de me torturer l'esprit pour quelque chose d'aussi futile. Le jeu est le jeu. Au pire, tant pis. « On verra bien. » dis-je doucement en haussant les épaules. Il déposait un baiser sur ma joue. Poliment, j'en souris en coin avant de boire une nouvelle gorgée de ma boisson pétillante. Vain leur tour. Un d'eux devait être nominé d'office. Il se proposait. J'arquai un sourcil, tout en l'observant, froidement. Non mais quel nul. Et Lizzie ? Et Abbie ? Ces gens si inutiles qui sont rien d'autre qu'un poids (un très gros poids pour certaines) dans son équipe. Enfin bon, c'était son choix. Je soupirais doucement en cherchant sa main, l'attrapai, la serrai dans la mienne. Au fond, ça me faisait simplement chier de le savoir nominer aussi inutilement.

Une sonnerie. Je me précipitais pour décrocher ce maudit téléphone rouge. « Oui ? » Prions pour que je ne tombe pas sur quelque chose de bidon.

Cassiopée, le téléphone t'apporte une mauvaise nouvelle : tu fais perdre 20 points à ton binôme.

Quelle ambiance ! Dit donc, je n’aurais pas pensé qu’aujourd’hui il y aurait eu des tensions comme ça. Tensions qui me désespéraient beaucoup d’ailleurs. « Vous faites vraiment des histoires pour un rien ma parole » je soupirais en regardant le comportement plus que puéril d’Alexis et ne préférais rien en dire, car comme toujours, moins j’étais dans les histoires, mieux je m’emportais et étant un minimum mature, je ne voyais même pas pourquoi les tensions avaient commencées. Sûrement pour des sottises soit disant importantes et vas-y que je t’embrasse l’autre pour te montrer que je suis la meilleure et vas-y que j’essaye de te lancer le plus de vanne dans le but de te casser. Et vas-y que je vais leur acheter une corde pour se pendre ? (a) excepter à Cassiopée, même si elle était rentrée dans son jeu. « Arrête de leur apporter de l’importance tu te fatigue pour un rien » encore heureux que le téléphone rouge interrompit tout ça. Téléphone que Cassiopée s’empressa de décrocher.

J'étais présent sur le prime sans l'être vraiment. Je ne parlais pas à grand monde, seulement à Noraline parce qu'elle avait la gentillesse de bien vouloir me parler et je ne participais pas vraiment aux évènements. J'eus un léger sourire, tandis que son clin d'oeil me mit mal à l'aise quelques instants. J'essayais tant bien que mal de reprendre contenance pour lui répondre. « Je l'espère.» lui répondis-je en essayant d'avoir l'air assuré mais je savais que c'était peine perdue. J'observais alors les événements autour de moi, Cassiopée venait d'embrasser Beau et Alexis, avec qui j'étais en binôme, fit de même avec le jeune homme. Visiblement je n'avais pas tout suivi de la soirée.

On peut trouver ma décision de me nominer complètement idiote, je l’admets. Irréfléchie. Pourtant, je pensais bien faire. Je n’avais pas été nominé une seule fois ; si je pouvais éviter à une des demoiselles de mon équipe, nominées à répétition, d’y passer à nouveau, pourquoi pas. Connerie nommée galanterie. Et puis, j’en avais assez de rester le cul sur ma chaise, à attendre que le jeu passe. Je préférais mettre un peu ma cagnotte en danger, et tenter le vote du public. Jouer le jeu, en somme. Question conne d’égo, ouais. Dans le meilleur des cas, sans être trop confiant, je pourrais faire éliminer un fantôme. Un instant coincé dans mes pensées, je sursautais légèrement au contact de la main d’Ocyllie attrapant la mienne. Mon regard glissa sur elle. Je lui adressais un fin sourire. « C’est pas toi qui disait que je ne risquais rien ? » je demande avec un clin d’œil. Je trempe ensuite mes lèvres dans ma coupe. Téléphone ? « Allo ? » La dernière fois, ça m'a pas porté chance. Pourquoi j'me suis jeté dessus, au fait? T'es un crétin Gabriel, c'est tout.

Gabriel, tu peux offrir vingt points à l'équipe de ton choix, sauf la tienne bien entendu.

En fin de compte, elle ne faisait que laver les lèvres de Beau de la salive de Cassiopée. La brune se dirigea ensuite vers la jeune femme, étalée sur Elias. La belle pencha sa tête en esquissant un fin sourire moqueur. Comme si elle n'avait pas entendu ce qu'elle avait dit. « Dit la fille qui se trouvait tellement moche qu'elle était obligée de se comparer aux autres. Allez, t'as le droit de pleurer, c'est normal à seize ans. » Quoi, elle n'avait pas seize ans ? Alexis en était pourtant certaine. Puis elle planta son regard dans celui d'Elias. « Console bien ta "miss", le trentenaire. Vous vous êtes bien trouvés, en parfaits idiots que vous êtes. » Puis elle se redressa rapidement, avant de soupirer un coup. Ils étaient pathétiques. « A plus les losers, vous m'appelez si je suis éliminée. » dit-elle en quittant la pièce, sans se retourner.

Rien. Cassiopée s’était levée et avait embrassé Beau pour rien. D’accord, le garçon avait du louper un épisode. Peut-être était-ce un baiser d’adieu ? Blague. En tout cas, alors qu’elle repartait avec son garde du corps, Beau se contenta de boire une gorgée de vin, attendant la suite des événements. Gabriel s’était installé à sa place et le garçon comptait bien lui prendre aussi sa place, en allant près d’Alexis. Mais non, déjà elle s’était levée pour jeter les dés, puis après que Gabriel se soit nominé – ô quel grand homme, pleins de bonnes valeurs et méritant, vite sauvons le la semaine prochaine – Alexis se rendit près du bellâtre. Elle ne se précipita pas, si bien qu’il eut le loisir de la détailler, presque anticiper ce qu’elle allait faire et surtout, poser son verre, en prévision de ce qui allait arriver. Et la voilà déjà qui posait ses mains sur le torse de l’australien avant de le prendre par le visage et de l’embrasser. Pas comme Cassiopée, oh non. Les bras de Beau l’encerclèrent naturellement tandis qu’il prolongeait avec plaisir cet échange. Rompant finalement le baiser au moment le plus opportun, Beau haussa un sourcil. « Suivante. » Murmura-t-il, amusé, tout en fixant les yeux d’Alexis, preuve qu’il plaisantait. Enfin, elle faisait partie de celles qui le comprenaient plus ou moins, pas comme ces autres abrutis. Cassiopée se mit alors à se plaindre, disant qu’Alexis la copiait, qu’elle faisait cela pour exister. Putain. C’était la première fois que Beau avait l’impression qu’on se servait de lui. Lui qui se servait toujours des autres, whaa. C’était maintenant sur, ce bellâtre de Beau avait raté un putain d’épisode. Et voilà qu’Elias râlait en disant qu’ils faisaient des histoires pour un rien. Quel rabat-joie celui-là. « Si tu la tenais un peu, y aurait pas d’histoire. » Répliqua Beau à Elias tout en désignant Cassiopée d’un signe de tête. Bon. Alexis, déjà partait en direction de Cassiopée et Elias afin de leur dires quelques unes de leurs vérités avant de partir. Rha putain, pourquoi partait-elle du salon ! Evidemment, Beau n'alla pas à sa recherche, même si, quand même, voilà. Vidant son verre de vin, le jeune homme alla s'asseoir là où désormais il n'y avait plus personne. Allez, on se fait de nouveau chier et on attend la verdict. Bon la Alexis, elle revient ?

C’est une blague, c’est ça ? Vingt points à une équipe de mon choix, mais j’ai pas le droit de sauver l’honneur de la mienne ? Fais chier. Je soupire et serre les dents. Taziah, je retiens. Tes coups foireux, j’en tiens la liste. Et les autres qui ne peuvent pas s’empêcher de se mettre dessus pendant trente secondes. Agaçant manège. « Pour les Sollya. » je réponds à Taziah avant de raccrocher sans attendre de réponse. Choix d’équipe qui ne laissait pas de mystère ; celle d’Ocyllie et de Cassiopée.

Gabriel, décision validée.

« Allez tous vous coucher bande de macaque ambulant. », ouais, j’étais là depuis tout ce temps, comme une larve. J’avais les boules d’être nominé cette soirée, j’avais les boulles de partir, je le sentais gros comme ça, j’allais prendre cher, c’est tout. Alors que je regarde les embrassades des uns et des autres, j’aime pas trop comment ils se comportent avec Cassio. Je finis par me lever et atterrir aux côtés de la belle. « Vous êtes que des chiens. », je parle de Beau et de l’autre brune là, j’sais même plus comment elle s’appelle la gonzesse. « Ouais ouais je parle bien du faux blondinet et de la brunasse là. », qu’ils s’en prennent pas à la mauvaise personne ses deux-là. Je passe un bras autour des épaules de Cassio, puis embrasse longuement sa joue, glissant à son oreille avec discrétion « Tu vas être celle qui va le plus me manquer. », et c’était vrai.

Dans quelques instants vous saurez quels sont les deux candidats qui quitteront ce soir l'aventure. Pour l'heure découvrons les cagnottes des candidats ce soir, qui n'ont pas connu de changements majeurs cette semaine.



Citation :

Francesc : 20700$
Quincy 14700$
Beau : 14400$
Marilou : 11500$
Ocyllie : 11200$
Orlando : 11100$
Abbie 10500$
Lou-Amstrong : 10000$
Gabriel : 10000$
Isaac : 10000$
Tommi : 10000$
Chase : 9700$
Jayde : 9700$
Mercy : 9700$
Alexis : 9700$
Elias : 9500$
Sly : 9500$
Lizzie : 9200$
Cassiopée : 9200$
Noraline : 1700$
Lewis : 0$

Les gens qui se réveillent à la fin du prime, ils sont bien drôles. Genre l’autre con à la touffe ambulante qui connait pas la brosse à cheveux ou même le gel, quand on a des cheveux comme les siens, on essaye un minimum de les maitriser, mais non, pas lui. Putain, ce qu’il avait l’air con. Bref, donc le gars est vautré sur un canapé depuis vingt-et-une heure et quatre heures plus tard, il se réveille en mode « je gueule sur tout le monde », allez Lizzie avait pas envie de se réveiller non plus ? Ce serait le réveil des abrutis de service. Bref, en plus de cela, le Orlando (Beau connaissait son prénom parce qu’il était nominé) l’insulta de chien, précisant bien qu’il parlait à Alexis et lui. Beau se mit à rire. « Quand ta pote arrêtera de faire la chienne, on en rediscutera. En attendant fais ce que tu fais toujours, ferme la. » Sérieusement ? En sept semaines, c’était la première fois qu’il entendait parler ce mec.

Beau la bête, beau le bête. Mon dieu. J’étais tombé dans un asile de fous ! Autant les premières semaines j’avais kiffé, autant maintenant, tout le monde me casse les couilles, c’est bien pour ça que je reste dans mon coin, ou avec mes potes de la maison, mais surtout pas qu’un mec comme lui m’approche, je risquerais de quitter le jeu pour coups et blessures, ma parole, il est con ou il est con ? J’me la ferme jamais et ça il pourrait le savoir si monsieur passait moins de temps dans la salle de bain – j’te jure, une vrai gonzesse sur ce point. « C’est ça, va faire ton beau. », c’est lui le chien, il s’en rend même pas compte. « Va donc dans la salle de bain te décolorer les veuchs, tes racines repoussent ! ».

Tiens, on dirait Orlando. En même temps que je me redressais, un sourire venait naître aux bords de mes lèvres. Je savais que je pouvais compter sur lui. Je ne le quittais pas du regard, jusqu'à ce qu'il vienne s'installer à mes côtés et prendre ouvertement ma défense. Enfin, si on pouvait parler de défense hein. Admirative, je le laissais embrasser ma joue et encercler mon épaule de son bras. Comment ça j'étais celle qui allait le plus lui manquer ? Que je sache, il n'était pas encore dehors et puis de toute façon il était hors de question qu'il mette un pied à l’extérieur de cette villa tant que j'y trouvais encore. Ce n'était pas comme si je lui avait fait la promesse de l'amener le plus loin possible. Je venais me blottir tout contre lui. Il avait été la première personne avec laquelle j'avais eu l'occasion, la chance de me découvrir des points communs. Il s'agissait de l'un des piliers de mon aventure ici. Il ne pouvait pas partir. « Sauf que tu ne vas pas partir parce que moi j'ai besoin de toi ici. » Je lui soufflais ça à l'oreille, dans un murmure, avant même que je ne le regarde avec des yeux de petites filles. Euh, je rêvais où Beau le nabot venait de m'insulter de chienne ?