WITH FRANCESC

Bon, j’étais levé depuis deux heures déjà et je ne pouvais pas aller dans ma chambre sans prendre le risque de réveiller Francesc, l’un des derniers et même le dernier candidat de notre équipe à encore être plongé dans les bras de Morphée. Ce n’est pas pour dire, mais j’avais des choses à faire mine de rien et devoir attendre qu’il se lève, ça commençait à m’embêter ne pouvant pas conséquent, pas faire grand-chose, comme prendre des affaires ou autre. J’ouvris alors notre porte et me dirigea vers son lit. Il était totalement mort sur son lit, à quelle heure s’était-il encore couché hier soir. Je soupirais et le poussa légèrement afin de me faire une petite place sur son matelas. Je ne savais pas trop comment le réveiller, ne voulant pas être responsable d’une crise cardiaque, je décida d’y aller doucement. « L’hibernation est fini, c’est l’heure de se réveiller maintenant » je le secouais légèrement, espérant ne pas l’avoir interrompu en plein rêve ou encore ne pas le faire sursauter.

Dormir c'est mon truc quoi, sans mes douze heures de sommeil je suis ronchon, voir très ronchon selon l'heure à laquelle on me réveille, je pense qu'après un long mois dans cette maison, les membres de mon équipes avaient saisis, la règle numéro, ne jamais me réveiller quand je dors, et surtout quand Megan Fox est dans mon rêve, oui ça c'est autre chose mais bon, j'en parlerais une autre fois. J'entendis une voix me sortir de mon rêve, c'était Elias, je poussai un grognement en guise de réponse, lui tournai le dos et me rendormis , aussitôt , mais le mec est têtu; vachement têtu même, il continuais à me bousculer pour me réveiller, j'vais l'bouffer si ça continue. - Elias ... TA GUEUUUULE ! - hurlais-je avant de me retourner à nouveau, j'espère avoir était assez clair en fait.

Je ne pus m’empêcher de rire face à sa réaction. Je savais très bien qu’il ne valait mieux pas le réveiller de peur de s’attirer les foudres de Francesc, mais voyez-vous, je n’avais peur de rien. Je trouvais qu’il était déjà tard et ses heures de sommeil il avait largement eu le temps de les rattraper, au pire des cas il n’avait continuer sa nuit dans le salon. « Soigne ton langage veux-tu ? Ce n’est pas comme ça qu’on s’adresse à son chef » dis-je sur le ton de la plaisanterie, même si j’avais de forts doutes qu’il est envie de rire. « Il est déjà dix huit heures, je pense que je t’es assez laissé dormir comme ça » je ne savais pas s’il allait me croire, mais n’ayant pas d’horloge sous les yeux, ils ne devaient se fier qu’à mes paroles et puis peut-être que ça le motivera à bouger du lit s’il exige qu’il avait assez dormi comme ça.