Début de la troisième semaine. Cela fait maintenant plus de deux jours que le prime s'est déroulé, un prime sous le signe des sacrifices. Taziah ne pouvait pas faire mieux pour mettre de l'ambiance dans cette émission. Isaac eut également un sacrifice - comme tous les candidats - ce dernier devait choisir entre handicaper une équipe et donner deux de ses indices. Le secret du professeur était suffisamment en danger, depuis qu'il était au courant qu'une des candidates était à fond sur son secret, il préférait se calmer dans ce domaine. Début du dix-septième jour, Isaac se leva aux environ de onze heures du matin afin de vivre normalement sa journée. Ce dernier ne prit pas la peine de se changer, avec un débardeur noir et son bas de pyjama, le professeur se dirigea vers la cuisine pour se faire des pâtes. - ouais, merci mercy - Un quart d'heures après, il se retrouvait dans la salle à manger en train de manger - oui, cette pièce sert un peu à ça - le professeur se retrouva seul, mais pour combien de temps ?

N’ayant rien d’autre à faire de nos journées, nous passions notre vie à manger. Du moins c’est une impression que j’avais. À force, nous aurions au moins pris trois kilos en fin de semaines, encore heureux que j’entretenais mon corps assez régulièrement, je ne voulais pas finir avec de la brioche en guise de ventre. Le matin je mangeais bien, tout comme le midi d’ailleurs. Je venais d’ailleurs de me couper quelques rondelles de saucissons, les posant dans mon assiette, juste à côté des deux cordons bleu et du maïs que j’avais mis dans mon assiette. Voilà un repas un peu près équilibré et qui pourrait me rassasier. Mon assiette à la main où se trouvait mes couvert et mon verre ainsi qu’une serviette, de l’autre main, je me dirigeais vers le salon afin de pouvoir déguster pour déjeuner tranquillement. Apercevant Isaac, je décidai de m’asseoir avec lui. C’était toujours plus agréable de partager un bon repas en compagnie de quelqu’un qui avait l’air sympathique, que totu seul. « Salut ! » lui lançais-je avant d’entamer mon repas veillant bien à ne pas parler la bouche pleine. « Sa va ? » repris-je par la suite, une fois ma première rondelle de saucisson avalée.