Bon, j'allais pas rester 250 ans en pyjama non plus. C'était pas que je m'inquiétait spécialement de ce que pourrait penser le public en me voyant traîner en pyjama, c'était juste histoire de ressembler à quelque chose quoi. Après avoir pris une douche sans me soucier des personnes qui pourraient entrer, j'ai enroulé une serviette autour de moi et je suis arrivée au dressing. J'ai jamais été super pudique, donc être à moitié à poil dans la maison je m'en foutais. Dans le dressing, y'avait un super grand miroir. Toujours dans ma serviette de bain, j'essayais de relever ma tignasse encore humide avec un chignon. Ensuite ça serait le tour des fringues, mais j'ai pas 4 bras hein. Soudain, un bruit. j'ai sursauté, of course. « AH PUTAIN ! » Oui ben je m'y attendais pas aussi, faut me comprendre. Me retournant instantanément, je vis choucroute frisée dans l'embrasure de la porte. J'ai levé les yeux au ciel, soulagée. « Ah, c'est juste toi. » bof, être à moitié à poil devant lui, c'était pas le scoop du siècle. C'était pas comme si il me faisait quelque chose, hein.

Y'a des fois, va savoir pourquoi, j'ai envie de m'habiller.... Non je suis pas un clodo, ah si. Mais bon chuuuuuuuuuuuuuuuuut hein ! Bref, c'est d'un pas molachant, pied nu of course, que je m'avance vers sle dressing. Bon clairement je croyais qu'il n'y avait personne, mais si, Lizzie à moitié à oilp. Bref, je me marre, puis je m'apuis contre le cadre de la porte. Sexyyyyyyyyyy !, je la regarde, de haut en bas, bah au pire c'est pas moche tout ça.

« Nan mais tranquille toi, mate moi j'te dirais rien. » je levai les yeux au ciel, toujours dans ma serviette. Ma planquant derrière le paravent, j'attrapai tout ce qu'il me fallait pour l'habiller, heureusement que des vêtements à moi traînaient un peu partout dans la pièce quand j'avais défait mon sac sinon j'étais mal barrée. Oh non, il me manquait un tee shirt. Et me voilà en soutif, géniaaal. Aucun tee shirt à l'horizon. Bon la choucroute pourrait bien m'aider. « Tu m'passes un tee shirt steuplait ? » Parce que quand on peut pas comptet sur soi même y'a toujours les autres... Même si en l'occurrence, l'autre c'était Dodo le clodo.